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Éditions À l'Avant du Monde

COVID-OFF (couverture bleue)

23,90

516 pages.
24cm x 14cm x3,3cm
Couverture bleue
ISBN 978-2-9597392-0-0
Janvier 2025

FEUILLETER : https://www.calameo.com/accounts/7871971

Depuis le 16 mars 2020, « nous sommes en guerre ». Eh bien moi aussi. Contre le Sars-CoV-2, bien-sûr, mais surtout contre la folie COVID qui s’est emparée du monde, à commencer par notre pays.

Comment sait-on ce qu’on sait ? Vous a-t-on déjà raconté comment on a séquencé le virus en Chine ? Et d’ailleurs, qu’est-ce qui a fait que là-bas, en décembre 2019, on s’est soudainement inquiété : « Tiens, quelque chose d’anormal est en train de se passer ? ». Comment les évènements ont-ils pu à tel point s’emballer ?

Je n’y peux rien : c’est dans ma nature de me poser des questions. Et même si cela me prend forcément du temps, je finis souvent par trouver des réponses. Ce livre est le récit du combat que je mène depuis que cette crise est née, une offensive relancée jour après jour pour comprendre ce qui nous arrive, témoigner. M’approprier l’histoire plutôt que de la voir s’imposer.

Tout est parti de l’annonce du premier confinement. Puisque nous étions « en guerre », j’ai voulu en savoir un peu plus sur notre « ennemi ». Et puisque j’étais empêché de sortir, je me suis mis à écrire. Des textes, analyses ou chroniques, publiés sur Facebook où ils n’avaient pas grand-chose à y faire, ni grand monde pour les lire. Puis une tribune : « Sous le masque, le futur citoyen exemplaire ? », publiée par FranceSoir. Ce qui m’a convaincu d’écrire un livre, cette fois pour m’engager. Ne plus subir. Au final, une pièce en cinq actes. Le résumé de l’histoire ?

Le monde est devenu fou : COVID-on. Il est temps d’en reprendre le contrôle : COVID-off. Et maintenant, fini de jouer.

La première partie s’ouvre, in petto, par l’annonce du premier confinement, ou comment le COVID est entré dans ma vie et les premières réflexions que cela m’a inspiré. Après un bref exposé méthodologique, basé sur l’histoire vraie de chercheurs américains qui, dans les années 1970, ont été diagnostiqués fous et se sont retrouvés internés, suivi d’un hommage au génial et déjanté Kary Mullis, l’inventeur de la PCR, je retrace tout l’enchaînement des faits qui, depuis les premiers cas apparus en Chine jusqu’au séquençage du virus (toute la procédure est décrite), ont amené l’OMS a déclaré le COVID « pandémie mondiale », le 11 mars 2020.

La deuxième partie, « COVID-ON », la plus longue, prend chronologiquement le relais. Elle rassemble la plupart des textes que j’ai écrit, du 18 mars 2020 à fin juillet 2022. Le dispositif a l’avantage de retracer l’état d’avancement des questionnements, des connaissances accumulées. Il ne s’agit aucunement d’un journal (aucun intérêt, croyez-moi), mais d’une recherche obsessionnelle à analyser, comprendre et communiquer dans un espace de pensée absolument libre où tout le monde est bienvenu, à condition d’être immunisé contre l’humour noir, les idées préconçues et quelques autres mauvaises pensées. Tout y passe : les données scientifiques, statistiques, les problèmes juridiques, l’absurde et le concret.

La troisième partie est une analyse, indépendante mais complémentaire, qui part d’une question surprenante, née dans des conditions qui ne le sont pas moins : que se passerait-il si l’on prenait de l’Hydroxychloroquine avant ou juste après se faire vacciner ? La réponse, apportée, mène bien plus loin qu’on ne le penserait. L’occasion de retracer le feuilleton d’une guerre qui n’est pas terminée.

La quatrième partie est une lettre, celle que j’ai envoyée à l’ensemble des députés et sénateurs en juillet 2021, à la veille du vote de la loi instaurant le pass sanitaire et la vaccination obligatoire. C’est autant un réquisitoire, pour nos libertés, qu’un avertissement lancé. Elle s’intitule sobrement : « Emmanuel Macron et l’exécutif : coup d’Etat ou coup de folie ? ».

La cinquième et dernière partie, « COVID-off », est à la fois une longue conclusion et une ouverture, d’un optimisme teinté de mélancolie, et qui se résume par une formule répétée : « Quelque chose s’est brisé ».

Bien que formant un tout cohérent, ce livre peut se lire dans absolument n’importe quel sens. Il me semble d’ailleurs que la meilleure façon de l’aborder est de consulter la table des matières, et de commencer par là où l’attention se laisse porter. Le reste viendra après.